Malgré des normes sanitaires qui exigent des taux de chlore et de brome suffisants pour tuer les bactéries, les risques d’infections subsistent.
Les risques de contamination par l’eau de piscine sont d’autant plus importants que :
– La fréquentation en nombre de personnes est importante, chaque personne apportant son lot de bactéries. Il existe des normes visant à remettre de l’eau en fonction du nombre de baigneurs.
– La piscine est à ciel ouvert, et que les produits visant à stabiliser l’eau ne sont pas à une concentration suffisante.
Quelles sont les infections les plus fréquentes ?
• Les infections cutanées, qui touchent habituellement le visage, mais sont possibles ailleurs : elles se présentent sous la forme de folliculites (petits boutons blancs) et peuvent évoluer vers de véritables furonculoses. Le responsable en est le staphylocoque doré, une bactérie dont la recherche fait partie des contrôles sanitaires des piscines.
• Les infections oculaires : l’irritation de la conjonctive par l’eau de piscine, dont la teneur en chlore est élevée, est fréquente. Cette conjonctivite peut devenir bactérienne sous l’effet d’une surinfection dont les principaux gènes responsables sont les chlamydiae et les pseudomonas.
• Les infections ORL : le problème est ici différent. L’eau de piscine n’est pas directement responsable d’une contamination bactérienne, mais l’irritation des muqueuses qu’elle provoque va les fragiliser et induire otites, sinusites et rhinopharyngites, qui sont souvent sévères.
• Quant aux infections génito-urinaires et digestives, elles ne sont que très rarement dues à l’eau de piscine, contrairement à ce qui est fréquemment dit.
Quelle prévention contre les infections ?
La prévention est à la fois individuelle et collective.
Individuellement, il convient de :
– Se sécher parfaitement à la sortie de l’eau
– D’utiliser son propre maillot et de sa serviette personnelle
– Disposer de linge propre et correctement nettoyé
– D’avoir une hygiène corporelle de qualité
Malgré des normes sanitaires qui exigent des taux de chlore et de brome suffisants pour tuer les bactéries, les risques d’infections subsistent.
Les risques de contamination par l’eau de piscine sont d’autant plus importants que :
– La fréquentation en nombre de personnes est importante, chaque personne apportant son lot de bactéries. Il existe des normes visant à remettre de l’eau en fonction du nombre de baigneurs.
– La piscine est à ciel ouvert, et que les produits visant à stabiliser l’eau ne sont pas à une concentration suffisante.
Quelles sont les infections les plus fréquentes ?
• Les infections cutanées, qui touchent habituellement le visage, mais sont possibles ailleurs : elles se présentent sous la forme de folliculites (petits boutons blancs) et peuvent évoluer vers de véritables furonculoses. Le responsable en est le staphylocoque doré, une bactérie dont la recherche fait partie des contrôles sanitaires des piscines.
• Les infections oculaires : l’irritation de la conjonctive par l’eau de piscine, dont la teneur en chlore est élevée, est fréquente. Cette conjonctivite peut devenir bactérienne sous l’effet d’une surinfection dont les principaux gènes responsables sont les chlamydiae et les pseudomonas.
• Les infections ORL : le problème est ici différent. L’eau de piscine n’est pas directement responsable d’une contamination bactérienne, mais l’irritation des muqueuses qu’elle provoque va les fragiliser et induire otites, sinusites et rhinopharyngites, qui sont souvent sévères.
• Quant aux infections génito-urinaires et digestives, elles ne sont que très rarement dues à l’eau de piscine, contrairement à ce qui est fréquemment dit.
Quelle prévention contre les infections ?
Individuellement, il convient de :
– Se sécher parfaitement à la sortie de l’eau
– D’utiliser son propre maillot et de sa serviette personnelle
– Disposer de linge propre et correctement nettoyé
– D’avoir une hygiène corporelle de qualité